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Les lectures d'Astrid
30 avril 2010

Level 26

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LEVEL 26
d'Anthony E.ZUIKER

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Quatrième de couverture :

Les policiers du monde entier répartissent les criminels sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Un tueur échappe à cette classification. Cruel à l'extrême, insaisissable, sévissant sur tous les continents, il ne connaît aucune limite ni aucun mode opératoire de prédilection : c'est le niveau 26. Un seul homme peut l'arrêter. Il s'appelle Steve Dark, et depuis que ce monstre a massacré sa famille, il s'est juré de cesser de traquer les psychopathes. Mais bientôt, il n'aura plus le choix.

Mon avis :

J'ai beaucoup aimé cette histoire. J'ai été prise du départ par contre je n'ai pas été du tout voir le site internet car je trouve que cela ne m'aurait rien apporté et qquand je lis un livre, je le lis et je n'aime pas être interrompu dans ma lecture pour aller sur le net. La chasse à l'homme est génial et elle est super bien décrite. Forcément c'est un livre violent, je ne lirai pas des livres comme cela tous les jours mais une fois de temps en temps cela me va. Par contre je n'ai pas aimé et même détesté la fin qui n'apporte rien à l'histoire et qui prévoit une suite (enfin dans ma logique). Je pense qu'il faut prévenir les lecteurs qu'il s'agit de plusieurs livres car les livres valent chers et tout le monde n'a pas les moyens d'acheter plusieurs livres.

L'histoire du livre :

C'est encore grâce à Dasola que j'ai découvert ce livre. Elle l'a reçu sans rien demander et de colère elle ne voulait pas le lire. Je lui ai demandé si elle pouvait me le prêter et dans sa grande bonté elle me l'a donné. Enfin plus exactement elle a donné rendez-vous à ma fille sur Paris et ma fille me l'a ramené à ma maison. Merci beaucoup à Dasola pour sa gentillesse.
Je vous mets le lien qui vous explique l'histoire de ce livre pour Dasola. Une question Dasola, je fais quoi du livre, je te le rends, j'en fais un livre-voyageur, je le mets à la bibliothèque de mon village ou je le garde tout simplement chez moi ?

http://dasola.canalblog.com/archives/2010/02/10/16820377.html#comments

Suite au commetnaire de Dasola je propose ce livre en livre-voyageur, si quelqu'un est intéressé qu'il me laisse un message dans "Contacteez l'auteur" avec votre adresse ou laissez moi un commentaire. Merci encore Dasola

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28 avril 2010

Fractures

Fractures
de Franck Thilliez

Sans_titreQuatrième de couverture :

Alice Dehaene se recueille sur la tombe de sa sœur jumelle, Dorothée, décédée dix ans auparavant. Une question la taraude : à quoi rime cette photo de Dorothée, prise il y a à peine six mois, qu’elle a récupérée des mains d’un immigré clandestin ?

Alice sait que quelque chose ne tourne pas rond dans sa tête. Son psychiatre à l’hôpital de Lille, Luc Graham, doit lui révéler le résultat d’un an de psychothérapie, lui apporter cette lumière qu’elle recherche depuis si longtemps. Mais les événements étranges qui se multiplient autour de la jeune femme vont l’en empêcher : son père, agressé chez lui à l’arme blanche, et qui prétend avoir tenté de se suicider ; ce chemisier ensanglanté qu’elle découvre dans sa douche, à propos duquel elle n’a pas le moindre souvenir ; et cet homme retrouvé nu à un abri de bus et qui semble avoir vu le diable en personne.

Grâce à l’intervention de Julie Roqueval, assistante sociale en psychiatrie, Luc Graham, d’abord dubitatif, se décide enfin à mener l’enquête. Un aller simple vers la folie…

Mon avis :

C'est mon deuxième livre de cet auteur. Le premier était "la chambre des morts". Dans cet opus on frôle aussi la folie mais beaucoup moins destructive. Malheureusement à la 200ème page j'avais découvert la fin mais je l'ai lu pour savoir si j'avais raison. Ce livre a été conseillé par Gérard Collard, le libraire qui officie tous les vendredis ua journal de la santé sur France5 mais là je suis un peu déçue.

Je fais de ce livre un livre-voyageur. Il a déjà été chez Kiki, puis il a été chez Fatima en ce moment il est chez Lystig puis il va à Paris chez Laëtitia. N'hésitez pas à me le demander si ce livre vous intéresse.

27 avril 2010

Pissenlits et petits oignons

Pissenlits et petits oignons
de Thomas PARIS

Présentation de l'éditeur :

Koulechov est un croque-mort qui ne vit que pour enterrer. Virtuose de l'art funéraire, il aime le travail bien fait. Pour chacun de ses clients, il prend la plume et résume en quatre pages la vie de celui qu'il va inhumer. Son récit n'est certes pas toujours conforme à la réalité, mais Koulechov est un écrivain qui a de l'imagination. Puis il conserve sa prose soigneusement classée sur les étagères de son bureau. Quatre pages, c'est bien la moindre des choses pour une vie qui vient de s'achever. Il en est à son quatre mille deux cent vingt-troisième client lorsque Eva Rouvière, un matin, entre dans son officine et lui demande d'enterrer son mari. Ce jour-là ne sera pas un jour comme les autres, et tout, lentement, va se dérégler dans l'esprit de Koulechov...

Mon avis :

Un livre sans aucun intérêt à mes yeux. Je n'ai pas aimé, je m'ai lu car il n'y avait que 166 pages écrit en gros carastères. C'est le second livre que je lis de cet auteur et je pense que se sera le dernier.

25 avril 2010

Contes du cimetière sous l'arc-en-ciel

dimanche 29 novembre 2009

Contes du cimetière sous l'arc-en-ciel
de Yak Rivais

Quatrième de couverture

LES MORTS PARLENT AU CIMETIÈRE SAINT-PATRICK.

Certains veulent même jouer avec Lannik, et le chat noir du diable veut acheter l'âme de soizic. Attention ! Le fantôme essaie de faire manger des champignons vénéneux à Guern ! Les trolls s'efforcent de récupérer le sifflet qui les rendra maîtres de Cerbère, le dieu des Enfers... Heureusement que les enfants se défendent ! Six histoires franchement démon ...Yak

Mon avis :

C'est un livre pour les enfants à partir de 10 ans. Je l'ai lu pour la bibliothèque et j'aime beaucoup cette collection. Cela ne fait pas trop peur. Ce livre est composé de 6 histoires où les gentils gagnet toujours et c'est le principal.

23 avril 2010

Le bourgeois gentilhomme

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Le bourgeois gentilhomme
de Molière

Histoire :

Maître de musique, maître à danser, maître d'armes, maître de philosophie, maître tailleur, soupers fins, billets doux, rendez-vous secrets... Les plus folles extravagances sont entrées au logis : monsieur Jourdain s'est mis en tête des idées de noblesse et de galant homme. Hélas, pour avoir des idées notre homme n'en est pas moins bourgeois. Et sa bourgeoise, madame Jourdain, ne l'entend pas de cette oreille. Son mari décide de marier leur fille unique à un marquis ? Jamais ! Au fils du Grand Turc ? Il a perdu l'esprit ! Qu'il se ridiculise autant qu'il le souhaite, qu'il fasse de la prose autant que bon lui semble, monsieur Jourdain a, grâce au ciel, valet moins sot que lui. La farce que le coquin lui prépare est, celle-là, du meilleur goût !

Mon avis :

Heureusement le ridicule ne tue pas. J'ai adoré lire ce texte. Monsieur est franchement ridicule et comme toutes personnes ridicules il ne s'en rend pas compte. En ce moment je relis des classiques car à l'école nous en avons tous lu mais nous ne les avons pas apprécié et maintenant (à mon grand âge), j'ai décidé de les relire. Une chose est certaine je ne relirai pas "Le rouge et le noir" de Stendhal car c'est une histoire d'amour et cela je ne peux vraiment pas les lire (peut-être à causqe de ce livre). Replongez dans les classiques et à mon avis vous ne serez pas déçus.

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21 avril 2010

Le violon d'Auschwitz

Le violon d'Auschwitz
de Maria Angels ANGLADA

Quatrième de couverture :

Auschwitz. 1944. Les privations et les coups. Les humiliations s'enchaînent, les hommes, traités comme des chiens, n'existent aux yeux de leurs persécuteurs que comme de la main-d'oeuvre peu chère. Un prisonnier juif, Daniel, y lutte pour la survie de son âme. Surprenant un concert organisé par Sauckel, le commandant du camp, Daniel révèle son talent de luthier pour sauver son ami Bronislaw, violoniste de génie accusé à tort d'avoir joué faux. Il va alors être mis à l'épreuve et devoir construire un violon imitant le son d'un Stradivarius, comprenant vite que de cet instrument dépend leur salut...
Composant un mélange subtil entre réalité et fiction, des documents historiques - lettres, rapports - viennent interrompre le récit à la manière de pauses glaçantes.
Dans la tradition littéraire d'un Primo Levi, l'auteur mène une danse effroyable entre l'horreur de la barbarie et le sublime de la musique.
Ou l'art comme possibilité de faire vivre la mémoire.

Mon avis :

Je l'ai lu car il était dans la bibliothèque de mon village et je voulais le conseiller aux autres lecteurs mais j'ai été déçu par ce récit. Je sais pourquoi j'ai lu "Si c'est un homme" de Primo Lévy qui est un récit bouleversant. "Le violon d'Auschwitz m'a paru fade, sans entrain. Je pense que ce livre a été écritt juste pour faireu n livre de plus mais nous n'apprenons rien, strictement rien de nouveau comparé au livre de Primo Lévy. Une très grande déception.

20 avril 2010

A la une, à la deux, à la mort

vendredi 10 octobre 2008

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Quatrième de couverture :

Une aventure de Stéphnie Plum

"Coucou ! C'est Stéphanie. - Stéphanie ?"
Stéphanie Plum, la chasseuse de primes. Parée, bottée, cagoulée - c'est l'hiver à Trenton et le thermomètre flirte outrageusement avec les basses températures... Prête à se lancer dans de nouvelles aventures.
Cette fois encore, son cousin, l'immonde Vinnie, la charge d'une mission impossible. Ramener devant les tribunaux Oncle Mo, le marchand de glaces et de bonbons adulé par au moins trois générations. De quoi se mettre à dos les trois quarts de la ville. Heureusement, la belle a plus d'un tour dans son sac et quelques amis pour l'aider : Morelli, le flic de son coeur, Lula, l'ancienne prostituée black, relookée façon Shirley Temple, et l'énigmatique Ranger...

Mon avis :

En parcourant les blogs de lecture, j'ai découvert cette auteure ainsi que ses livres. J'ai décidé d'acheter le premier de la série Stéphanie Plum et je n'ai pas été déçu. C'est un bon policier avec beaucoup d'humour. Lula qui veut toujours en faire plus, c'est d'une drôlerie. Dès que je trouve le deuxième je l'achète car j'adore cette chasseuse de primes.
Je le conseille vivement à toutes les personnes qui aiment les policiers.

18 avril 2010

La petite maïtresse

mardi 14 octobre 2008

La petite maîtresse

de Gisèle BIENNE

Quatrième de couverture :

La nuit, au fond de son lit-cage dans la chambre de ses grands-parents. Lina rêve de fuite. Elle s'accroche à son pouce, elle se retourne, elle se réveille, parfois même elle pleure dans son sommeil et dit "non, non" à voix haute.
Il y a plus d'un an qu'on l'a retirée de sa famille pour la confier à ses grands-parents qui élèvent des poules et des coqs. Elle a entendu une expression, un jour, à la radio ; "Démesurément seule." Elle se dit que c'est ce qu'elle est. Démesurément seule, avec un secret trop lourd à porter, trop lourd à confier.
Tout a commencé doucement, insensiblement. Un matin, la maîtresse lui a demandé de la remplacer quelques instants, le temps de monter à son appartement préparer la bouillie de son bébé. Puis ç'a été trois, quatre fois par semaine. Et maintenant, c'est tout le temps. La maîtresse y prend goût. Elle monte fumer, cuisiner, ne rien faire. Lina, elle, ne se reconnaît plus. Elle est perdue, fatiguée, enfermée dans le silence. Elle a des pensées bizarres. Elle devient folle.
- Qu'est-ce qui ne va pas, Lina ? demande sa grand-mère.
Pas question de parler. Plutôt mourir.

Mon avis :

C'est un livre emprunté à la bibliothèque dans le rayon enfants pour m'en faire une idée. C'est un joli conte mais sans plus. Il ne m'a pas transporté comme je l'aurai imaginé. J'ai été déçu, j'en espérais plus.

14 avril 2010

Sylvia de Léonard Michaels

sylviaPrésentation de l'éditeur

Leonard Michaels rencontre Sylvia Bloch en 1960 et l'épouse deux ans après. Leur relation passionnelle se termine tragiquement un soir de 1964. Ce n'est que trente ans plus tard qu'il décide de faire le récit quasi clinique de ce premier mariage. Dans Manhattan alors en plein bouleversement, le couple croise et se mêle à des cohortes de marginaux et d'intellectuels - de Miles Davis à Jack Kerouac, en passant par Lenny Bruce.

Biographie de l'auteur

Leonard Michaels est né le 2 janvier 1933 à New York, de parents polonais. Il a étudié à l'université de New York puis à celle du Michigan. Après une thèse consacrée à la littérature romantique, il a enseigné l'écriture, la critique littéraire et la poésie romantique à Berkeley de 1969 à 1994. Il est l'auteur de deux romans : The Men's Club, considéré par certains, lors de sa sortie dans les années quatre-vingt, comme un livre sur l'émergence d'une conscience masculine, et Sylvia (1992). Il est surtout connu pour ses recueils de nouvelles. Il est aujourd'hui considéré comme l'un des maîtres du genre. Il a collaboré régulièrement à Vanity Fair et à la New York Times Book Review. Son oeuvre a été récompensée par le prix de la fondation Guggenheim, le prix de l'American Academy and Institute of Arts and Letters, le Pushcart Prize et le National Endowment for the Arts. Il est mort le 10 mai 2003 à Berkeley après avoir passé les dernières années de sa vie en Italie avec sa femme.

Mon avis :

J'ai lu le résumé de Dasola sur son blog et je lui ai demandé de me le prêter et je l'en remercie de l'avoir fait. Vous pouvez lire son billet ici :

http://dasola.canalblog.com/archives/2010/02/13/16833026.html

Malheureusement je n'ai pas accroché du tout à cette histoire. Je l'ai lu jusqu'à la page 64 mais je n'ai pas pu aller plus loin. Donc je confirme bien je n'aime vraiment pas les histoires d'amour en livre.

12 avril 2010

La place

samedi 11 octobre 2008

La place

D' Annie Ernaux

Quatrième de couverture :

Il n'est jamais entré dans un musée, il ne lisait que "Paris-NormandieParis-Normandie" et se servait de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études serait mieux que lui.

Cette fille, Annie Ernaux, refuse l'oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis sa petite "place au soleil". Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui lui disait : "les livres, la musique, c'est bon pour toi. Moi je n'en ai pas besoin pour vivre".

Ce livre dépouillé possède une dimension universelle.

Mon avis :

Je viens de lire une femme d'Annie Ernaux qui raconte la vie de sa mère (lu le 28 septembre), et je voulais lire la place qui raconte la vie de son père. Samedi dernier, ma fille rentre de Paris et m'annonce qu'elle a un cadeau pour moi et magnifique c'est le livre LA PLACE (je l'en remercie beaucoup).

J'ai fini mon livre ne cours et j'ai de suite commencé celui-là. Mon esprit était frais de l'histoire de sa mère donc ce fut facile de tout comprendre (car je les ai lu dans le désordre). C'est un très beau livre sur la vie difficile de son père, écrasé par une femme autoritaire et qui a besoin de grandeur et de reconnaissance. Je plains de tout coeur cet homme car il a eu une vie difficile mais à ses yeux ce fut une vie réussie grâce à sa fille. Je conseille ce livre à tout le monde et un conseil : profitez de vos parents avant qu'il ne soit trop tard.

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