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Les lectures d'Astrid

13 décembre 2011

Les jours fragiles

9782266136082FS

Quatrième de couverture :

Elle a grandi dans l'ombre de son frère aîné surdoué scandaleux.
Lorsqu'il a choisi de s'enfuir, elle a appris l'absence et le manque.
Aujourd'hui, l'exilé volontaire est de retour de ses lointains voyages et il la réclame.
Il ne lui propose que des jours fragiles, fébriles.
Elle accepte sans réfléchir.
Empêtrée dans ses frayeurs, guidée par un infatigable espoir, Isabelle Rimbaud est enfin prête, à trente ans, à cheminer aux côtés d'Arthur vers l'irréparable.

Philippe BESSON est l'auteur de "Son frère" (porté à l'écran par Patrice Chéreau), de L'arrière-saison (grand prix RTL-Lire) et de  "Un garçon d'Italie". Ses romans sont traduits en 12 langues.

Mon avis :

C'est le récit de la fin de vie d'Arthur Rimbaud à travers le journal de sa soeur Isabelle.
Elle a un courage monstre pour accompagner Arthur jusqu'à la mort. IL lui raconte pourquoi il est devenu homosexuel et elle a du mal à s'en remettre car tout a commencé par un viol à l'armée.
L'auteur a réécrit le journal d'Isabelle mais avec des morceaux de son journal; Il s'est aussi appuyé sur le livre de Jean-Jacques Lefrère "Arthur Rimbaud" éditions Fayard 2001.

En conclusion, le livre pose plusieurs questions :

  • Rimbaud a-t-il vraiment choisi sa vie ?
  • Est-il parti à cause de sa mère tyrannique et sans aucune tendresse ?

Je serai curieuse de savoir comment Isabelle a vécu après la mort de son frère. Si vous avez des renseignements, je suis preneuse.

JE vous mets un portrait d'Arthur Rimbaud pris sur le net.

1311205

 

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12 décembre 2011

Dans ma BAL

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En trois jours j'ai reçu quatre livres dont voici les titres :

  • Du lundi matin au samedi soir d'Hélène BRISCOE (livre-voyageur reçu de Gaëlle et il voyage grâce à Cathy dont je ne me souviens plus très bien du nom de son blog mais dès que je le retrouve je vous le mets)
  • Lire est le propre de l'homme (livre reçu gracieusement de la part des éditions l'écoles des loisirs)
  • L'enfant des cimetières de Cédric SIRE (un énorme merci à Laure de m'avoir prêtée ce livre).
  • Le voyage du prince Tudorpah (livre reçu grâce à Babelio)

Merci à vous toutes et je vous souhaite une très bonne semaine

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10 décembre 2011

Le dîner

9782714446640FS

Quatrième de couverture :

Deux frères se donnent rendez-vous avec leurs épouses dans un restarant branché d'Amsterdam.
Hors d'oeuvre : lem aitre d'hôtel s'affaire.
Plat principal : on parle de tout, des films à l'affiche, des vacances en Dordogne.
Dessert : on évite soigneusement le véritable enjeu du dîner, les enfants.

Car leurs fils respectifs ont commis un acte d'une violence inouïe.

Un café, un digestif, l'addition.
Reste la question : jusqu'où irions-nous pour préserver nos enfants ?

Mon avis :

J'ai lu ce livre en 2 jours pendant que j'étais chez ma soeur. Ce livre m'a mise fortement mal à l'aise. Comment peut-on réagir comme cela ? Aux Pays-Bas l'extrème droite fait un énorme score et cela ne m'étonne plus en lisant ce livre.
Une maladie peut-elle expliquer tout ?
La famille n'a-t-elle pas son mot à dire sur un traîtement ?

Pour moi ce n'est pasu n coup de coeur, ai-je aimé ou pas ? Je ne sais pas. J'ai un sentiment très mitigé sur ce sujet. Il est bien écrit, la forme est original mais j'en ressens un très profond malaise à la limite de la nausée.

Lu dans le cadre du challenge psy de chez Métaphore 67504601

 

7 décembre 2011

Vingt-quatre heures de la vie d'une femme

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Résumé emprunté sur le site de la Fnac :

Scandale dans une pension de famille " comme il faut ", sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée...

Seul le narrateur tente de comprendre cette " créature sans moralité ", avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez la fugitive.

Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.

Mon avis :

C'est un livre magnifique sur l'amour et la dépendance au jeu. La description des mains des joueurs de casino sont tellement criants de vérité que j'avais l'impression de les voir s'animer. Une très belle description sur l'addiction au jeu, on joue, on gagne puis l'on rejoue et l'on regagne et l'on rejoue et on perd maison continue de jouer pour se refaire, c'est criant de vérité.
Comment une femme peut tomber amoureuse d'un jeune homme en ne le voyant que 2 heures.
C'est vraiment un très joli livre sur les passions : le jeu et l'amour. Il ne fait que 179 pages mais il est vraiment intense. Comme vous avez pu le constater j'ai vraiment adoré ce livre. Je ne peux que vous le conseiller.

6 décembre 2011

Salon du livre jeunesse de Montreuil 2011

Avec la bibliothèque de la Somme, j'ai eu la possibilité d'aller au salon du livre jeunesse de Montreuil. Le lundi 5 décembre 2011, c'était une journée réservée aux professionnels (bibliothécaire, instituteurs, etc).

Je me faisais une joie de m'y rendre. Toute la semaine, j'ai fait attention de ne pas me coincer le dos, de me pas me faire une entorse, en un mot j'ai fait très attention. Lundi je prends le car à 8 heures à Amiens direction Montreuil. Nous sommes arrivées à 11 heures car il y avait beaucoup de monde sur le périphérique.

Le chauffeur nous précise qu'il reprends à 16 h 30 sans faite car il ne peut pas stationner longtemps rue de Paris à Montreuil. Nous rentrons dans le salon et c'est immense, c'est beau, la première réaction c'est que cela ressemble à une immense librairie. Puis j'ai vu des auteurs expliqués leurs livres, leurs passions pour l'écriture pour enfants. Tout cela me plaît, je m'achète un livre de contes de Noël, en plus l'auteure me le dédicace magnifiquement bien avec de jolis dessins.

Vers 1é h 30 je commence à avoir mal à la tête, je prends un cachet et je continue à visiter puis à 13 heures la douleur devenant franchement insupportable je me rends au poste de soins de la croix-rouge pour qui'ils appellent simplement un médecin, qu'il me fasse une ordonnance et avoir les médicaments (en plus je connais le  traitement Acupan + anti-inflammatoire). Je me fais recevoir par le chef d'intervention qui commence par m'engueuler car on ne vient pas à un salon quand on a des problèmes de santé (j'avais mon collier cervical), je lui explique que si je n'ai pas mon traitement je vais avoir de plus en plus mal, je vais transpirer puis je vais avoir des nausées. Il ne m'a pas cru, il voulait absolument que je m'allonge mais quand je m'allonge j'ai encore plus mal à la tête. J'ai refusé puis forcément j'ai eu des vomissements et résultat des courses je me suis retrouvée aux urgences de l'hôpital de Montreuil. Là ils m'ont donné mon traitement puis tout est rentré dans l'ordre. Je suis sortie del 'hôpital mais je n'ai pas trouvé de taxi donc j'ai pris le bus puis marchée très vite et je suis arrivée à 16 h 40 au salon, le car venait de partir mais grâce aux bouchons j'ai pu le rattraper au bout de la rue. Je suis très en colère après la croix rouge car en plus de m'avior engueuler ils n'ont pas prévenu le groupe que j'étais partie aux urgences.

Voilà je ne dois pas être faite pour les salons du livres car soit je ne peux y aller pour cause de santé, soit que je me retoruve aux unrgences. MAIS je vais quand même m'inscrire pour aller au salon du livre porte de VErsailles, je ne désespère, un jour je verrai un salon en entier.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout, à très bientôt sur le net.

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3 décembre 2011

Marina

MARINA

écrit par Carlos Ruiz ZAFON

Quatrième de couverture :

Dans le Barcelone des années 1980, Oscar, quinze ans, a l'habitude de fuir le pensionnat où il est interne. Au cours de l'une de ses escapades, il fait la connaissance de Marina. Fascinée par l'énigme d'une tombe anonyme, Marina entraîne son jeune compagnon dans un cimetière oublié de tous. Qui est la femme venant s'y recueillir ? Et que signifie le papillon noir qui surplombe la pierre tombale ? S'égarant dans les entrailles d'une terrifiante cité souterraine, s'enfonçant dans les coulisses d'un inquiétant théâtre désaffecté, Oscar et Marina réveillent les protagonistes d'une tragédie vieille de plusieurs décennies.

Mon avis :

Une tirade que j'aime particulièrement dans ce livre :

"Vous aurez remarqué, Oscar, que nous n'avons pas l'électricité. A vrai dire, nous ne croyons pas trop aux progrès de la science moderne. En fin de compte, quel est le sens d'une science capable d'envoyer un homme sur la Lune, mais incapable de mettre un morceau de pain sur la table de chaque être humain ?

- Peut-être le problème ne réside-t-il pas dans la science mais dans ceux qui décident de son emploi, répondit Oscar"

Pour moi ce fut un livre déroutant, beaucoup de science fiction. Par contre l'auteur décrit toujours aussi bien la ville de Barcelone et elle fait aussi partie du livre et de l'histoire. Marina est une fille pleine de mystère et de secrets. Elle vit avec son père malade. Marina et Oscar ont vécu une drôle d'histoire réveillant de vieux fantasmes. C'est un beau roman mais un peu déçue par la fin.

 

1 décembre 2011

Le secret d'Etat aux yeux verts

9782211093668FSQuatrième de couverture :

Il y a une chose que je ne supporte pas, c'est d'être malheureuse...

Mais comment continuer à être heureuse quand on est tombée amoureuse d'un secret d'Etat aux yeux verts qui s'appelle Emilio Perez, qui disparaît sans arrêt et qui est aussi difficile à trouver qu'une aiguille dans une botte de foin : aux îles Rademaker, il y au moins deux mille familles Perez.

Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

 

 

 

 

 

 

Mon avis :

C'est l'histoire d'une jeune fille d'ambassadeur. Ils arrivent dans une île où un dictateur sévit. La dictature est bien expliquée pour les enfants. Tout est bien décrit : les militaires, les espions; les disparitions. Une fin un peu déroutante pour un livre d'enfants mais au moins ce n'est "tout est bien qui finit bien".

Lu dans le cadre "un mot : des titres", le mot était "SECRET" du blog de Calypso

Un-mot-des-titres

 

 

27 novembre 2011

Astrid

Astrid :

  • Sa couleur : le bleu (je préfère le rouge)
  • Son chiffre : le 8 (pour ma part c'est le 13 ou le 4)
  • Son signe associé : la balance (mon chéri est gémeaux)
  • Sa fête : le 27 novembre (pour moi aussi)

Étymologie :

  • Des Ases, divinités germaniques et du germain "Trud" : fidélité ou du scandinave "frid" : gracieux, belle

Célébrité :

  • Astrid VEILLON (actrice)
  • La reine Astrid de Belgique disparu à l'âge de 30 ans (en 1935), d'un accident de voiture

Est-ce à dire qu'Astrid a quelque chose de la beauté d'une déesse, plus une part de l'énigmatique fidélité des Dieux ? En tout cas, Astrid, princesse de Suède, puis épouse de Léopold III, roi des belges, fut estimée et aimée par sa grande beauté et sa douceur, elle qui mourut en 1935.
On dit des Astrid qu'elles créent l'harmonie là où elles se trouvent et que se sont de parfaites épouses.
Alors charme, prévenance, intelligence, paisible : vite que naissent et renaissent des Astrid !

(texte emprunté dans le guide des prénoms 2009, solar Editions, de Paul Cointe)

BONNE FETE A TOUTES LES ASTRID

26 novembre 2011

Des nouvelles !

Je suis rentrée hier soir chez moi. Ma fille va beaucoup mieux, elle reprend son travail lundi matin et j'espère que cela ira.

Je suis hyper heureuse de mes rencontres de la semaine. Dimanche soir en prenant le train pour Paris je rencontre, sur le quai, une ancienne blogueuse qui habitait à Paris et maintenant elle habite Amiens, je l'ai déjà rencontrée 2 fois et c'est une fille formidable. Sur les blogs elle se faisait appelé Golda et je l'apprécie beaucoup.

Samedi dernier j'avais envoyé un message à Dasola pour savoir si l'on pouvait se voir dans la semaine. Nous nous sommes vues mercredi à l'Odéon et nous avons beaucoup, beaucoup discutée. C'est une femme super sympa, elle m'a racontée un peu la vie parisienne d'avant et celle de maintenant qui n'a plus rien à voir. Elle aime Paris et moi aussi. Elle aime lire et moi aussi donc nous avons beaucoup de points en commun. Maintenant j'espère qu'elle va me rendre visite dans mon village, elle va être hyper étonnée car dans mon village il n'y a rien et quand je lui ai dit, elle n'en revenait pas. Elle n'en revenait pas non plus qu'à Amiens à part un cinéma et un bowling il n'a y rien d'autres. Cela est une autre vie comparé à la vie parisienne. En un mot j'ai passé une super après-midi avec Dasola. Merci pour cette après-midi.

18 novembre 2011

Robert des noms propres

Quatrième de couverture :

"Pour un écrivain, il n'est pas de plus grandes tentation que d'écrire la biographie de son assassin. Robert des noms propres : un titre de dictionnaire pour évoquer tous les noms qu'aura dits ma meurtrière avant de prononcer ma sentence. C'est la vie de celle qui me donne la mort"

Amélie Nothomb

Mon avis :

Je l'ai emprunté à la BM car j'avais lu de bonnes critiques sur certains blogs. J'avais déjà lu "Biographie de la faim" que je n'avais pas aimé. Ce roman est très différent. Amélie Nothomb nous raconte l'histoire d'une fille, Plectrude' orpheline dès la naissance car sa mère a tué son père et s'est suicidée juste après sa naissance. Elle a été adopté par sa tante (la soeur de sa mère). Plectrude est une cancre avec un esprit de génie. Elle nous raconte l'amour exclusif de sa "mère-tante" qui l'amène aux portes de l'anorexie car sa tante veut qu'elle devienne "petit rat" de l'opéra.
Je n'avais pas lu la 4ème de couverture et donc la fin m'a vraiment étonnée. Amélie Nothomb ne peut s'empêcher de se mettre dans ses livres. Comme dit ma kiné "elle est hyper narcissique" et je suis bien d'accord avec elle.

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