Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les lectures d'Astrid
26 mars 2012

La demoiselle d'Opéra

418IwknyTZLQuatrième de couverture :

Au coeur de Paris étincelle l'Opéra. Au coeur d'Adeline Piedplus, fille de concierge, brûle l'amour de la danse. Tant qu'elle possède l'agilité et la souplesse nécessaire, ce sont ses jambes qui expriment ses sentiments : l'amour, la douleur, la joie, la tendresse, la jalousie féminine.
Elle connaît trois guerres, des passions dévorantes et coupables, la gloire et l'abandon, l'opulence et la misère, les rois et les poètes, des machinistes et des financiers. Elle ruine les vieillards, entretient des jeunes gens, a rang de danseuse étoile et devient vedette de revue au music-hall.
Elle s'éteint enfin au premier muguet de mai 1947, peu après son centième anniversaire. Dans son sillage parfumé, la plume inspirée de Guy des Cars nous fait revivre, d'un siècle à l'autre, à travers une destinée éblouissante, toute une époque - la Belle époque.


Mon avis :

J'ai lu ce livre en octobre 2011 mais comme maintenant je tiens un cahier de lecture, je peux faire mes avis longtemps après avoir lu un livre.

Quel destin ! A 23 ans, elle a perdu ses parents (à 8 mois d'écart), sa meilleure amie et son mari. Elle a eut une fille qu'elle a prénommée Gisèle comme son amie.
Quelle vie de joie et d'immenses tristesses. Beaucoup d'argent mais très peu d'anis et d'Amour. Elle a tout perdu, elle a vécu jusqu'à ses 100 ans mais dans quel état !

Guy des Cars nous fait vivre 100 ans de la vie de cette femme de 1847 à 1947. Nous traversons les 3 guerres. Nous apprenons la vie à la Belle Époque. Surtout nous apprenons la dure vie d'une danseuse étoile, les sacrifices qu'il faut faire.
Un très beau roman mais j'ai quand même trouvé un peu long les descriptions des ballets, était-ce bien nécessaire ?

Si ce livre vous intéresse, je peux en faire un livrer-voyageur, n'hésitez pas à me le demander.

 

Publicité
Publicité
1 décembre 2011

Le secret d'Etat aux yeux verts

9782211093668FSQuatrième de couverture :

Il y a une chose que je ne supporte pas, c'est d'être malheureuse...

Mais comment continuer à être heureuse quand on est tombée amoureuse d'un secret d'Etat aux yeux verts qui s'appelle Emilio Perez, qui disparaît sans arrêt et qui est aussi difficile à trouver qu'une aiguille dans une botte de foin : aux îles Rademaker, il y au moins deux mille familles Perez.

Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

 

 

 

 

 

 

Mon avis :

C'est l'histoire d'une jeune fille d'ambassadeur. Ils arrivent dans une île où un dictateur sévit. La dictature est bien expliquée pour les enfants. Tout est bien décrit : les militaires, les espions; les disparitions. Une fin un peu déroutante pour un livre d'enfants mais au moins ce n'est "tout est bien qui finit bien".

Lu dans le cadre "un mot : des titres", le mot était "SECRET" du blog de Calypso

Un-mot-des-titres

 

 

13 décembre 2011

Les jours fragiles

9782266136082FS

Quatrième de couverture :

Elle a grandi dans l'ombre de son frère aîné surdoué scandaleux.
Lorsqu'il a choisi de s'enfuir, elle a appris l'absence et le manque.
Aujourd'hui, l'exilé volontaire est de retour de ses lointains voyages et il la réclame.
Il ne lui propose que des jours fragiles, fébriles.
Elle accepte sans réfléchir.
Empêtrée dans ses frayeurs, guidée par un infatigable espoir, Isabelle Rimbaud est enfin prête, à trente ans, à cheminer aux côtés d'Arthur vers l'irréparable.

Philippe BESSON est l'auteur de "Son frère" (porté à l'écran par Patrice Chéreau), de L'arrière-saison (grand prix RTL-Lire) et de  "Un garçon d'Italie". Ses romans sont traduits en 12 langues.

Mon avis :

C'est le récit de la fin de vie d'Arthur Rimbaud à travers le journal de sa soeur Isabelle.
Elle a un courage monstre pour accompagner Arthur jusqu'à la mort. IL lui raconte pourquoi il est devenu homosexuel et elle a du mal à s'en remettre car tout a commencé par un viol à l'armée.
L'auteur a réécrit le journal d'Isabelle mais avec des morceaux de son journal; Il s'est aussi appuyé sur le livre de Jean-Jacques Lefrère "Arthur Rimbaud" éditions Fayard 2001.

En conclusion, le livre pose plusieurs questions :

  • Rimbaud a-t-il vraiment choisi sa vie ?
  • Est-il parti à cause de sa mère tyrannique et sans aucune tendresse ?

Je serai curieuse de savoir comment Isabelle a vécu après la mort de son frère. Si vous avez des renseignements, je suis preneuse.

JE vous mets un portrait d'Arthur Rimbaud pris sur le net.

1311205

 

31 mars 2012

La femme du jour

image_22552Article paru dans le Courrier Picard du 30 mars 2012

Ophélie CHRETIEN, 26 ans,
en 6ème année de médecine,
a publié son premier roman "Intrusion".

Cette jeune femme, originaire de Lihus, petit village situé près de Crèvecoeur-le-Grand, jongle entre ses études et sa passion pour la littérature. "L'inspiration me vient d'un seul coup. J'ai écrit ce roman en un mois et demi, le soir, j'ai toujours plein d'histoires à raconter." L'intrigue d'Intrusion se situe dans un monde apocalyptique, la Terre a été dévastée par un astéroïde. Son roman a été publié chez Edilivre, maison d'éditions basée sur internet.

Résumé du livre

La chute d'un gigantesque astéroïde a bouleversé la vie sur Terre. La planète, dévastée par des pluies acides, est plongée dans une pénombre permanente, et une mystérieuse substance rouge semble se répandre autour du cratère formé par le corps céleste. Éline, étudiante en médecine, tente de survivre au milieu de ce chaos, dans un monde où règnent violence et convoitise.

J'attends vos avis, si vous l'avez lu et me dire ce que vous en pensez.
 
 
 
19 décembre 2011

L'élève Ducobu : MISS DIX SUR DIX (tome 10)

laclave-ducobu-tome-10-missC'est la rentrée scolaire pour tout le monde. Pour le cancre Ducobu, c'est l'occasion enfin revenue de se marrer avec les copains. Pour la studieuse Léonie Gratin, c'est le moment de rattraper le temps d'apprendre perdu pendant les vacances. Mais, toute l'école vit à l'heure du roman d'amour de l'instituteur…
L'instit est amoureux ! En vacances, M. Latouche a en effet eu le coup de foudre pour une jolie Islandaise. Depuis, les cours de géo… graphie et métrie, les dictées et toutes les matières étudiées sont pour lui des prétextes à clamer son amour. Ses déclarations manquent toutefois de poésie. S'il est loin d'être un puits de sciences, l'Elève Ducobu a par contre la profonde sensibilité d'un poète et, tel Cyrano, il s'offre à souffler les mots doux qui feront chavirer le cœur de la Roxane de son prof… Plaisirs d'amour ne durent hélas pas toujours !
Les réalités de la vie quotidienne à l'école reprennent vite le dessus et Ducobu doit se faire à l'idée que sa voisine Léonie détestera toujours les copieurs et qu'il lui faudra encore et toujours redoubler d'astuces et de débrouillardise pour éviter l'humiliation du bonnet d'âne et les punitions. Même si les squelettes Néness et Rotule qui l'attendent dans le coin n'ont rien perdu de leur drôlerie… Mais, vous avez dit «z'héros» ? Le nul absolu n'est peut-être pas celui auquel tout le monde pense. Au jeu des défis de la vie, le désopilant cancre Ducobu pourrait être de ceux qui marqueront le plus de points… (Texte emprunté sur le site Amazon)

Mon avis :

C'est le premier Ducobu que je lis et j'ai vraiment beaucoup aimé.

Texte de la page 29 que je trouve tellement réaliste :

  1. 1968 : On est prié de ne pas parler au conducteur afin de ne pas le distraire.
  2. 1975 : On est prié de ne pas injurier le conducteur afin de ne pas le distraire.
  3. 1983 : On est prié de ne pas jeter ses détritus sur le conducteur afin de ne pas le distraire
  4. 1996 : On est prié de ne pas cracher sur le conducteur afin de ne pas le distraire.
  5. 2001 : On est prié de ne pas tirer sur le conducteur afin de ne pas le distraire.
  6. Aujourd'hui : On est prié de ne pas parler au garde du corps du conducteur afin de ne pas le distraire.

Qu'en pensez-vous ?

 

Publicité
Publicité
8 avril 2012

Alex

Alex-Pierre-Lemaître-205x300

Présentation de l'éditeur :

Alex, une jeune femme de 35 ans, belle et attirante, essaie des perruques dans un magasin du boulevard de Strasbourg. Quelques heures plus tard, elle est enlevée par un inconnu qui la suivait, jetée dans une camionnette et séquestrée dans un hangar désaffecté. Le ravisseur a organisé sur place un théâtre de tortures qu'elle va subir jusqu'à l'horreur. Alex parvient à se libérer avant que la police ne la retrouve, et n'identifie son tortionnaire, suicidé sur le périphérique. Dès lors, l'énigme d'Alex et de son passé ne peut plus lâcher le lecteur, qui la découvre du point de vue de la victime et de ses bourreaux, jusqu'au terme d'une tragédie imprévisible et fatale. Il est impossible d'en dévoiler davantage sans déflorer une intrigue d'une intelligence et d'une construction diaboliques qui touchent à la perfection. L'écrivain se révèle dans le ton et le style du récit (d'une feinte impassibilité) à l'image du commandant Verhoeven, le flic qui élucide la tragédie d'Alex, d'une attachante complexité. Pierre Lemaître, qui déclare "je ne cherche à écrire que des livres qu'Hitchcock aurait voulu filmer", porte à son comble, sans le moindre artifice ni trucage, l'art du suspense et de la peur.

Mon avis :

Ce livre est écrit en 3 parties.

Dans la première partie Alex est captive.
Dans la deuxième partie, plusieurs meurtres se produisent.
Dans la troisième partie, nous avons toute explications.

Ce livre démontre que les preuves peuvent être fabriquées, inventées ou suggérées. Heureusement qu'il y a le flair des policiers pour démêler le faux du vrai.

J'ai bien aimé ce livre mais sans plus. J'ai deviné le pourquoi dès la deuxième partie et cela gâche un peu l'histoie. Un livre étonnant mais sans plus, il y a quelques invraisemblances et surtout des faits médicaux qui sont impossibles.

Je relirai un livre de cet auteur pour me faire une vraie idée de son oeuvre.

Livre, emprunté à la bibliothèque de Paris, lu chez ma fille en novemvre 2011.

26 avril 2012

Love, friendship et autres complications de DIGLEE

love-friendship-et-autres-complications-6032-450-450

Présentation de l'éditeur :

Pour toutes les nanas, lookées, pas lookées, fi-filles ou garçons manqués, teenages branchées ou adulescentes qui s'ignorent, pour celles qui pleurent devant Twilight autant que pour celles qui se marrent devant Massacre à la tronçonneuse : big up !

Mon avis :

C'est l'histoire de 3 filles Chloé, Chrytelle et Marion.

Marion veut être styliste
Chloé préfère son chat aux mecs
Chrystelle veut être médecin ou avocate ou écrivain ou ....

Elles se racontent de manièère amusante et cela fait un bien fou. Un livre pour adolescent ou même adulescent.

J'ai lu cette BD (qui appartient à ma fille) en novezmbre 2011 mais j'en souris encore.

10 avril 2012

Mardi sur son 31

C'est la première fois que je m'inscris à ce genre de défi. Oui pour moi c'est un défi car ne pas oublier de faire un artice tous les mardis et surtout ne pas en avoir ras le bol car mon plus gros défaut c'est de ne jamais continuer quelque chose. Je vous demande de me rappeler mes oublis le mardi pour m'encourager. Ce défi est proposé par Sophie

Donc je vous livre une phrase de la page 31 du livre que je lis en ce moment :

"Le topinambour renaît (qui l'eût cru ?), on offre du saumon au chat, il y a du foie gras à la cantine."

Phrase extraite de Qu'il était mon beau mon Meccano de Jacques Gaillard.

logo-mardi-31Je vous souhaite une excellente journée remplie de délicieuses lectures.

 

18 avril 2012

Qu'il était beau mon Meccano

9782755501261FSQuatrième de couverture :

« Ne ressentez-vous pas,  parfois le besoin de recenser, d'évoquer, de ressusciter des objets aujourd'hui disparus et qui pourtant ont existé, là, entre vos mains, sur l'étagère, dans le jardin, au coin de la rue, absolument familiers, utiles, amusants et que l'on jugeait indispensables? Jusqu'au jour où on ne les a plus vus ? Pfuit ! Il y en avait, il n'y en a plus. C'est peut-être cela, l'Histoire, ou sa menue monnaie, notre histoire, la mienne, la vôtre. Les objets et les pratiques qui vont avec, qui ont leur fantaisie propre : on faisait ceci, on ne le fait plus. Tout est lié, les trucs et les machins, les choses et les bidules, dans le grand bazar du dernier demi-siècle, traversé à la vitesse d'un mascaret par le progrès et les innovations. Que laisse-t-il sur la grève du souvenir ? Le berlingot Dop, le transistor, le moulin à café, la Nénette, l'anti-monte-lait, la petite Calor, le slip Kangourou, les images de chocolat?»

À travers 21 choses désuètes, Jacques Gaillard fait son inventaire d'une époque qui nous est déjà lointaine mais que notre « impalpable petite nostalgie » continue de faire vivre en nous. Qu'il était beau mon Meccano est un recueil d'éloges et évocations littéraires, sensibles et humoristiques, dans la meilleure veine de l'écrivain.

Mon avis :

J'ai vriament adoré ce livre. Je me suis replongée dans mon enfance avec des petits souvenirs, forcément je n'ai pas tout connu car je n'ai que 45 ans mais je suis certaine que les plus de 50 ans se plongeraient dans ce livre avec délice en se disant "c'était mieux avant". Je vous mets la liste des 21 choses sont décrites dans ce livre (et je vous mets même les photos). Je vous souhaite un bon voyage dans Les années 50 et 60 :

  1. L'anti-monte-lait : je l'ai connu car j'habitais à la campagne.ANTI MONTE LAIT
  2. Le berlingot Dop : Je n'ai pas connu.dop1
  3. L'oeuf mimosa : J'en fais encore quelques fois.oeufs_mimosa_crabe
  4. Les images de chocolat : J'ai connu plus les images de la Caisse d'Epargne.IMages Chocolat
  5. Les dixièmes de la Loterie Nationale : Je n'ai pas connu mais j'ai connu le lancement du loto.Dixiemes
  6. Rintintin : A la télévision ce fut la grande folie.Rintintin
  7. La cuti-réaction : Je l'ai eu.Cuti réaction
  8. La "Nénette" : Je ne connais pas, ce n'est que pour les hommes.nenette polish duster
  9. Le Meccano : Encore pour les garçons.Cat_Meccano1956_50pc
  10. Les beaux buvards : J'en ai utilisé car j'ai appris à écrire à la plume.Buvard
  11. L'Isetta : C'est une voiture.isetta_mainIsetta_ouv-520x464
  12. Les oreillons : Encore pour les garçons.naitre-grandir-sante-enfant-joue-enflee-oreillon-RRO-1
  13. Le transistor : Qui ne l'a pas connu. copie-transistor-sixties
  14. La laisse pour enfants : Une horreur à mes yeux.laisse-pour-enfant-creche
  15. Le cyclorameur : Un engin bizarre.cyclorameur-gamme-tricycles
  16. La petite Calor : Je m'en suis servie quand je me suis installée avec mon mari.
  17. La brique chauffe-lit : J'avais la mêmebrique_vernissee_mancelle_chauffeuse_(pour_lit)
  18. Le slip Kangourou : A mourir de rire.slip_k10
  19. Le moulin à café : Je vous en mets deux photos et j'ai connu les deux (grâce à ma grand-mère)peugeot-21674me0000055789_3
  20. Le silence : Cela n'existe ratiquement plus.silence
  21. L'Adagio d'Albinoni : Nous écoutions beaucoup cette musique dans les années 60, souvenez-vous !

 

J'espère que ce billet vous a transporté dans les années 50-60.

Je vous souhaite un bon atterissage.

16 décembre 2011

La ronde des innocents

9782917144732

Quatrième de couverture :

Une course contre la montre qui conduit le lecteur dans l¹univers des enfants précoces. Un thriller sous forme de double enquête palpitante qui révélera l¹existence de terribles manipulations...

Vincent Nimier croyait tout connaître de son frère Raphaël, jusqu’au jour où celui-ci est retrouvé torturé et assassiné sur un sentier des Hautes-Pyrénées. Grâce à une mystérieuse vidéo, il découvre alors que son frère avait une femme et un fils, disparus il y a des années sans laisser la moindre trace. Vincent se lance à leur recherche, mais il ne sait presque rien d’eux, pas même leur nom.

Une seule certitude : ils sont en danger de mort et les hommes qui ont massacré Raphaël feront tout pour les retrouver avant lui !

Mon avis :

J'ai emprunté ce livre à la BM de Paris quand j'étais chez ma fille.
Avoir des dons surnaturels, est-ce un bien ou un mal ?
Tout dépend comment l'on s'en sert. Valentin Musso nous emporte dans un univers inconnu (pour moi), l'univers de la télépathie et toutes les sciences paranormales.
Peut-on avoir une quelconque décision sur l'ensemble des choses qui arrivent dans le monde ?

C'est un très bon premier roman et, à mon avis, il a fait beaucoup de recherches scientifiques pour ce roman.

Lu dans le cadre du challenge psy de chez Métaphore  67504601

7 janvier 2012

Dernières nouvelles des oiseaux

51lXk41vrHL

Quatrième de couverture :

" Ce soir-là, le président présidait une remise de prix au lycée de H. Dès le cinquième très bon élève, il bâilla. Tandis que se poursuivait l'éprouvante cérémonie, l'idée arriva dans son cerveau et, s'y trouvant bien sans doute, commença de germer. Une idée simple, une idée scandaleuse.

D'accord, il faut récompenser les très bons élèves, mais pour quelle raison ceux que je vois ce soir monter un à un sur la scène sont-ils tellement ennuyeux?

Premièrement parce qu'ils se ressemblent tous.

Deuxièmement parce qu'ils acceptent, sans protester, les matières au programme.

Pourquoi ne pas couronner d'autres enfants, des talents cachés, des passionnés qui explorent sans relâche, qui ne supportent que la liberté, que les devoirs qu'ils se donnent eux-mêmes? D'abord, nous donnerons à chacun d'entre eux un grand prix de la Passion. Et ensuite... La suite est un secret. "

Librement inspiré de l'aventure d'Airbus et de l'A380

Erik ORSENNA, conseiller d'état, préside le Centre International de la Mer

Mon avis :

Comme toujours avec Erik Orsenna, une très belle histoire. J'aime beaucoup sa façon de raconter une histoire de manière très poétique.
7 enfants sont invités sur une île pour ne rien faire et ne vivre que de leur passion. Ils restent chacun de leurs côtés jusqu'à l'arrivée d'une tempête et l'île est envahie par la mer, il faut évacuer mais comment ?
C'est grâce à cela que 7 personnes solitaires se sont trouvés et ont décidé d'une solution. Même la personne la plus détestée du groupe s'avère très utile et il a été mis à contribution.
Dans ce conte, Orsenna nous démontre que toute personne est importante et qu'il ne faut jamais laisser quelqu'un de côté.

Je vous mets la définition de le honte vu par l'auteur :

"La honte est un méchant microbe.
Quand il entre en quelqu'un, il lui ronge la volonté, la gaieté, tout ce qui donne l'envie et le plaisir de vivre. Le honteux s'enfouit sous terre, comme un animal qui hiberne. Il s'enferme sur lui-même. IL ne répond plus aux paroles ni aux sourires. IL demeure immobile, les mains moites et les yeux baissés, accrochés à la pointe de ses chaussures."

Je trouve que c'est la pure vérité, et vous ?


 

29 mai 2012

Mardi sur son 31 (5)

C'est ma cinquième participation. Ce défi est proposé par Sophie

Donc je vous livre une phrase de la page 31 du livre que je lis en ce moment :

"Ainsi tiraillé, il avait fini par partir et était arrivé à Sundsvall."

Dernière du chapitre 3 du livre "Oublier son passé" de Karin ALVTEGEN. J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération "Masse critique de Babelio". Je suis au chapitre 10, il est bien mais sans plus, ce n'est pas ma tasse de thé, il est intéressant.

 

logo-mardi-31

Je vous souhaite un très bon mois de juin rempli de soleil.

24 janvier 2012

Le tonnerre de Dieu (qui m'emporte)

33103-0Quatrième de couverture :

De temps en temps, quittant sa femme, Brassac descend à Lyon pour satisfaire sa passion de la boisson et des filles. Là, devant un public complaisant, il joue volontiers le hobereau excentrique. Lorsqu'il regagne son domaine, il ramène souvent avec lui un chien perdu ; ainsi sa maison est pleine de chiens…

Cette fois, c'est une fille. Il était saoul elle, abrutie de sommeil. L'un suivant l'autre, ils arrivent chez lui, dans cette maison délabrée où il vit en sauvage entre sa femme et ses chiens. Et elle demeure, s'installe…

Dans le film que Denys de la Patellière a tiré du roman de Bernard Clavel, Jean Gabin a rencontré en Brassac un personnage à sa mesure.

Mon avis :

J'ai lu ce livre le 24 septembre 2011 juste après la lecture de la couleur du bon pain.

C'est un livre écrit en 1958 mais pourrait très bien se passer de nos jours. Ce livre parle de la désertification des villages du centre de la France, de la vie d'un vieux couple sans enfant. Un soir le vieux une fille de joie dans sa ferme. C'est l'histoire de la résurrection de cette fille de joie et des deux vieux. Elle trouve le bonheur.


C'est un livre doux où il y a pleins de non-dits et ce n'est pas plus mal. Un film a été tiré de cette histoire et le rôle du vieux a été joué par Jean GABIN. Je n'ai pas vu le film mais je suis certaine que ce rôle lui va comme un gant. J'ai hâte de le voir.

Livre lu dans le cadre du challenge petit bac59180916

8 octobre 2011

La couleur du bon pain

bordes-la-couleur-du-bon-painRésumé :

Comment peut-on vivre sereinement lorsque les autres vous rappellent sans cesse votre différence ?
Suite au décès de sa mère, Grégory, 16 ans, doit quitter Paris pour le village de ses grands-parents aux environs de Brive. Mais il comprend vite que sa présence dérange la petite communauté, hésitant entre curiosité et suspicion. Son père, retourné vivre à la Réunion, son pays natal, lui a laissé un héritage lourd à porter : la couleur de sa peau. Grégory a un véritable don pour s'occupper des bêtes, mais son grand-père a juré de ne jamais pardonner à sa fille ses écarts de jeunesse et refuse d'accpeter ce petit-fils comme l'un des leurs. Seule Stéphanie, sa cousine, est sensible à la douceur du jeune garçon. Mais Grégory a-t-il le droit au bonheur.

 

 

 

Mon avis :

J'ai lu ce livre en une soirée. J'ai été happé véritablement par cette histoire corrézienne. L'histoire d'un enfant noir qui arrive dans le centre de la France chez des grands-parents qui 'en veulent pas (surtout le grand-père). Les secrets de famille sont terribles, les non-dits, les rapports de classe, tous ces sujets sont décrits dans ce roman. Le grand-père bourru comme autrefois (il me faisait penser à Jean GABIN dans le film le pacha). Il faut lui obéir et ne poser aucune question. Un livre où les rancoeurs sont tenaces, la difficulté de s'entendre entre frères et soeurs surtout au moment du partage.

Une bien belle tranche de vie qui m'a vraiment transporté dans une région que je connais un peu.

Livre emprunté à la BM

 

 

12 avril 2012

Le jeu de la vérité

51lum5W4X4LQuatrième de couverture :

Qui est qui ? Question entêtante pour une enquête casse-tête : le squelette d’une certaine Alexandra Tynedale – riche héritière des brasseries du même nom – a été découvert sous les vestiges d’un pub londonien détruit lors du Blitz de 1940. À ses côtés, les restes non identifiés d’un nourrisson. Est-ce Maisie, la fille de la défunte ? Impossible, elle est encore en vie aujourd’hui. À moins que ce ne soit Erin, la fillette de la nurse de la famille Tynedale ?
Un héritage colossal étant en jeu dans cette ronde des identités, le commissaire Richard Jury est prêt à explorer bien des pistes. Et il va user de son atout majeur – l’inénarrable châtelain-détective Melrose Plant –, en l’envoyant jouer les jardiniers dans un manoir le temps d’une étrange partie de Cluedo® grandeur nature…

 

 

 

Le pourquoi de mon abandon :

J'ai d'abord fait un arrêt à la page 66 car je le trouvais saoulant, trop de descriptions et pas assez de suspense. Je l'ai repris quelques jous plus tard mais je ne l'ai lu que jusqu'à la page 82. Trop de bla-bla pour ne rien dire comme expliquer qu'une personne prend un escabeau, le place sur le sur, etc... tout cela pour changer d'ampoule. Je n'en vois pas l'intérêt.
Je ne vaux plus me forcer à lire des livres qui ne me plaisent pas donc je l'abandonne sans aucun regret.

Si ce livre intéresse l'un d'entre vous, je vous le donne avec plaisir.

18 juillet 2012

La vie des écoliers au temps de Jules Ferry

9782732036847FS

Résumé :

L'éducation en France a longtemps été un privilège auquel ont surtout eu accès les enfants issus de familles aisées.
Tout change en 1880. Un homme révolutionne le système scolaire français : Jules Ferry. Grâce à ses lois, les enfants prennent le chemin des écoles où ils acquièrent de nouveaux savoirs. Les écoles deviennent laïques, gratuites et obligatoires.
Les garçons sont séparés des filles, tous participent à l'entretien de la classe, apprennent à lire sur des manuels pédagogiques, passent le certificat d'études...

Une plongée savoureuse dans le quotidien des écoliers au XIXe siècle.

Mes impressions :

Depuis 1880, l'école est gratuite
En 1883, les villages de plus de 500 habitants, l'école est obligatoire pour les garçons.
En 1867, l'école devient obligatoire pour les filles.
En 1871, en Alsace-Lorraine les écoliers apprennent l'allemand
1879 à 18883, Jules Ferry est ministre de l'instruction civique et il rend l'école gratuite, obligatoire, laïque. L'instruction est obligatoire et l'apprentissage du français est obligatoire.
Les écoles organisent des cérémonies de remises de médailles, affichent les noms des élèves les plus méritants sur le tableau d'honneur.
Le certificat d'études couronne les études primaires. Pour l'obtenir il faut faire moins de 5 fautes sur une dictée de 25 lignes sinon c'est un zéro éliminatoire. A l'oral il faut expliquer un texte et analyser une phrase. Accord des participes passée, la division à décimale, calcul de fractions, la liste des départements français, des préfectures et sous préfectures et la chronologie des rois de France doivent être sus par coeur.

A la fin des études primaires, les élèves peuvent demander et obtenir une bourse pour continuer leurs études.

Un livre très instructif malheureusement épuisé. Je l'ai trouvé à la bibliothèque, essayez de le trouver et vous apprendrez beaucoup de choses sur l'école publique.

1 septembre 2012

L'enfant de tous les silences

l_

Quatrième de couverture :

1964. Une terrible tempête de neige paralyse le Kentucky. Le docteur David Henry n'a pas le choix : il doit accoucher lui-même sa jeune épouse, Norah. Vient d'abord un magnifique garçon et une petite fille... trisomique.
En un instant, David, persuadé d'agir pour le mieux, va prendre une décision tragique : il confie la petite à Caroline, son infirmière, qui doit la mener dans une institution spécialisée. À Norah, il annonce que le bébé n'a pas survécu.
Mais Caroline choisit de sauver la petite et de l'élever comme sa propre fille…

Des années plus tard, la vérité sur cet enfant de tous les silences ressurgit et avec elle des conséquences dramatiques sur la famille déchirée…

Mes impressions :

Je pense que mon avis ne va pas plaire à tout le monde mais je n'ai pas aimé ce livre. Je l'ai trouvé long, très long (dans la version de France Loisirs il a 576 pages). Il y a beaucoup de répétitions, l'histoire aurait gagné en intensité si l'auteure n'aurait pas usé de cette ficelle pour faire des pages. Pourquoi l'arrivée d'une jeune fille enceinte dans l'histoire ? Cela n'apporte absolument rien. Et que dire de la fin ? Une fin décevante au plus haut niveau. Ce livre m'a laissé indifférente, je l'ai lu jusqu'au bout croyant que cela allait avancer un peu mais rien, trop de clichés, trop d'invraisemblances. En le lisant je ne comprenais pas l'engouement pour ce livre.

Je l'ai lu, je me suis fait mon propre avis, à vous de faire le vôtre.

Ce livre a été lu dans le cadre de mon challenge perso.

Livre lu dans le cadre du challenge "un mot, des titres" de Calypso

Un-mot-des-titres

30 mars 2012

Lord of war

HD-2005-lord-of-war-167

Synopsis :

Né en Ukraine avant l'effondrement du bloc soviétique, Yuri arrive aux Etats-Unis avec ses parents. Il se fait passer pour un émigrant juif... Audacieux et fin négociateur, il se fait une place dans le trafic d'armes. Les énormes sommes d'argent qu'il gagne lui permettent aussi de conquérir celle qui l'a toujours fasciné, la belle Ava. Parallèlement à cette vie de mari et de père idéal, Yuri devient l'un des plus gros vendeurs d'armes clandestins du monde. Utilisant ses relations à l'Est, il multiplie les coups toujours plus risqués, mais parvient chaque fois à échapper à Jack Valentine, l'agent d'Interpol qui le pourchasse. Des luxueux immeubles new-yorkais aux palais des dictateurs africains, Yuri joue de plus en plus gros. Convaincu de sa chance, il poursuit sa double vie explosive, jusqu'à ce que le destin et sa conscience le rattrapent...

pic

Mon avis :

Je lisais "Traces de poudre", j'en ai aprlé avec Hélène et elle m'a conseillé de voir ce film. Une chance mon fils a autant de DVD que moi j'ai de livres et donc il l'avait. J'ai fini de lire ce livre mardi aprés-midi et j'ai visionné le film le soir même. J'ai été choqué, outré je ne vois pas comment je peux vous définir le mal-être que j'ai eu en regardant ce film. Les trafiquants d'armes n'ont aucun scrupule pour vendre n'importe quoi.
Ce qui m'énerve le plus c'est que comme dans le livre les trafiquants, ou les vendeurs d'armes légaux, ne sont pas responsablles de ce que l'on fait avec leurs produits. A les entendre ce n'est pas de leur fautre que les gens s'entretuent avec leurs armes alors c'est la faute à qui ? Il n'y aurait pas de trafiquants d'armes, il y aurait beaucoup moins de morts et là je pense aux tueris faites par Mohammed Merrah. Le pire c'est que ces gens là sont au-dessus des lois et qu'ils sont protégés par les chefs d'état.

Je remercie Hélène pour m'avoir indiqué ce film. Je ne regrette absolument pas de l'avoir vu.

Un jour ou l'autre je regarderai "Bowling of Columbine" de Michael Moore mais pas dans l'immédiat.

15 avril 2012

Contes du jour et de la nuit

R150073659Quatrième de couverture :

Parricides, ivrognes, enfants pervers, maris aveugles, ravissantes idiotes, bourgeois lâches et mesquins, paysans cruels et cupides, vous ne trouverez dans ces contes, de jour comme de nuit, que bourreaux et victimes.

Mais s'ils sont tous à tuer, ils tuent aussi beaucoup, ou se pendent, ou se tirent à la rigueur un coup de revolver dans la bouche par peur de la mort...

Maupassant serait-il le grand ancêtre méconnu du néo-polar ?

 

 

 

 

 

Mon avis :

Ce livre a été lu dans le cadre du challenge de Calypso "Un mot, des titres" et pour aujourd'hui il fallait lire un livre avec dans le titre le mot "Jour". Avant de vous dire ce que j'en ai pensé je vous fait un résumé des 21 nouvelles :

  1. Le crime au père Boniface : Un facteur témoin d'un meutre, il faut se méfier de ce que l'onentent. Très drôle.
  2. Rose : Histoire d'une femme de chambre parfaite. Etonnant.
  3. Le père : Histoire éternet d'un homme qui a peur de la parternité. C'est encore réaliste aujourd'hui.
  4. L'aveu : L'avarice n'amène jamais rien de bon.
  5. La parure : J'ai vu son adaptation sur France 2 et cette histoire m'a beaucoup touché. La nouvelle est bien mais comme je connaissais la fin, cela était moins prenant.
  6. Le bonheur : Une grande nouvelle : Le bonheur existe.
  7. Le vieux : Quand un vieux ne veut pas mourir, que faire ?
  8. Un lâche : Il faut toujours s'occuper de ses affaireset laissez aux autres leurs propres affaires.
  9. L'ivrogne : Les ravages de l'alcool, terrible.
  10. Une vendetta : La vengeance est un plat qui se mange froid (et moi je dis qu'il se mange même glacé, c'est meilleur)
  11. Coco : La haine envers les aniamux existent, même ilos ne peuvent pas se plaindre.
  12. La main : Encore une histoire de vengeance.
  13. Le gueux : Que peut-on faire quand on est rejeté à cause de son infirmité ?
  14. Un parricide : Peut-on être abandonné 2 fois par les mêmes parents ?
  15. Le petit : Comment réagir quuand on apprends que l'on a été trompé par la femme sa vie, qui est morte maintenant ?
  16. La roche aux guillemots : Tout est bon pour ne pas rater la chasse et tout peut attendre (même les morts)
  17. Tombouctou : La guerre entre français et prussine, que manger quand il n'y a plus rien sauf les morts ?
  18. Histoire vraie : L'histoire d'un amour impossible entre un noblre et sa domestique.
  19. Adieu : Comment vit-on la vieillesse ?
  20. Souvenir : Nous pouvons rencontrer l'amour n'importe quand et n'importe où
  21. La confession : Jusqu'où la jalousie peut anemer à faire, c'est terrible.

J'ai lu beaucoup de livres de Maupassant, il y en a que j'ai aimé, d'autres pas du tout comme Bel-Ami. Ce recueil de nouvelles me laisse perplexe, j'ai moins aimé, j'ai eu du mal avec certaines et j'étais ravie avec d'autres. Ce livre ne va poas me laisser un souvenir impérissable.

 Un-mot-des-titres

20 avril 2012

Adieu

4176tyf6prLQuatrième de couverture :

2001, Châtenay-Malabry. Une mère, son fils et sa fille sont retrouvés assassinés à leur domicile. Une famille apparemment sans histoires. Le père est porté disparu. Est-il lui aussi victime ou bien coupable ? Les recherches s'organisent, sous la direction du commissaire Langelier. Un mois plus tard jour pour jour, c'est au tour d'une seconde famille, tout aussi ordinaire, d'être abattue dans des circonstances identiques. Là aussi le père est introuvable. Presse, politiques, police, les avis sont unanimes, un tueur en série est à l'oeuvre. Seul Langelier s'entête à concentrer tous ses efforts sur la piste des pères, qu'il soupçonne d'être à l'origine des massacres. Devant son obstination et son manque de résultats, son supérieur et ami, le commissaire Ferracci, est obligé de lui retirer l'affaire. Commence alors entre les deux hommes un combat larvé, chacun s'efforçant de démontrer sa propre vérité, un combat qui tourne bientôt à l'obsession et qui ne prendra fin que dix ans plus tard avec la révélation d'une incroyable réalité. Comme dans ses trois précédents romans, Jacques Expert met en scène avec maestria le quotidien de personnages en apparence ordinaires mais dont la face cachée révèle d'insoupçonnables noirceurs.

Mon avis :

Tout d'abord je remercie sincèrement Laure pour le prêt de ce livre.

Un petit bémol concerant le début de ce livre car il y a une non-concordance de temps, il y a la découverte des corps le 20/02/2001 et ils retrouvent la voiture du père (soupçonné) le 20/01/2001, je l'ai relu plusieurs fois ce passage et l'erreur existe bien.

A part ce petit bémol, je me suis fait happée par l'histoire de ce flic qui veut absolument retrouvé les assassins des familles. Il veut prouver qu'il a raison et il met tout en oeuvre pour le prouver.
Ce livre est presque un monologue de ce commissaire le soir de son départ à la retratie. Il explique pas à pas son enquête qui a duré 10 ans où il a tout sacrifié (sa carrière, sa famille, etc...)
Peut-on tout faire pour démontrer que l'on a raison ?
Peut-on se contenter du coupable idéal ?
Ce livre ne répond pas à ces questions, c'est au lecteur de se faire sa propre opinion.
Jacques Expert arrive toujours à nous montrer le côté noir (voire très noir) de l'être humain.
Ce qui a changé dans ce livre par rapport à ces autres livres c'est que les femmes n'ont pas le mauvais rôle.
Gérard Collard en avait parlé au magazine de la santé sur France 5 comme un polar hors du commun et je suis tout à fait d'accord avezc lui. La descente aux enfers est vraiment très bien décrite. La manipulation des personnages est sans faille. Je me me doutais absolument de la fin qui est vraiment surprenante.

Merci Monsieur EXPERT pour ce merveilleux roman et j'ai hâte que vous en ressortiez un autre.

16 mars 2013

Le garçon de toutes les couleurs de MArtin PAGE

le_garcon_de_toutes_les_couleurs_martin_page_9782211085373

Quatrième de couverture :

Clémence rêve d'abandonner son existence monotone de collégienne pour vagabonder à travers le monde, comme ses parents voleurs, et, surtout, pour ne jamais cesser de cambrioler l'ennui. Avec Oscar, son tuteur très particulier, elle est gâtée en étrangeté. Lui aimerait bien fuir son corps avec ses bourrelets embarrassants et ses angoisses paralysantes de fantôme. Chez eux, on s'amuse à traquer le silence avec un fusil de chasse.

Jusqu'au jour où un bonheur écoeurant de sérénité s'installe au collège avec l'arrivée d'un nouveau venu, Simon.

Tout le monde veut lui parler, le connaître, l'aimer. Avoir les yeux posés sur lui. Car Simon n'est pas un garçon comme les autres. Son visage et son corps se couvrent chaque jour de nouvelles taches de couleurs, des couleurs vives et changeantes. Certains l'appellent même le garçon arc-en-ciel. Un jour, Clémence fait un pas vers Simon. Pas pour être son amie, non, elle préférerait se faire mordre par un chien. Mais par curiosité. Elle voudrait juste savoir d'où lui viennent ses couleurs.
Ce qui, d'après lui, ne la regarde pas. Mais Clémence est bien décidée à percer son secret.

Mon avis :

Que peut-on faire quand on sait qu'un enfant est battu ? On interpelle tous les gens que l'on connait mais personne ne bouge. Alors, forcément, il arrive l'irréparable mais qui en est les responsables ? Comment le prouver ? L'histoire est très triste mais pose vraiment les bonnes questions et donne aussi des réponses.

Un livre aux éditions l'école des loisirs (Médium Club). Un livre pour enfant dès la sixième et vraiment un livre à mettre entre toutes les mains, aussi bien les enfants que les parents.

21 juin 2012

L'étrange disparition d'Esme Lennox

66397937

Quatrième de couverture :

A Edimbourg, un asile ferme ses portes, laissant ses archives et quelques figures oubliées resurgir à la surface du monde. Parmi ces anonymes se trouve Esme, internée depuis plus de 60 ans et oubliée des siens. Une situation intolérable pour Iris qui découvre avezc effroi l'existence de cette grand-tante inconnue. Quelles obscures raisons ont pu plonger la jeune Esme, alors âgée de 16 ans, dans les abysses de l'isolement ? Quelle souffrance se cache derrière ce visage rêveur, baigné du souvenir d'une enfance douloureuse ? De l'amitié naissante des deux femmes émergent des secrets inavouables ainsi qu'une interrogation commune : peut-on réellement échapper aux fantômes de son passé ?

"A chaque pagez - jusqu'à l'ultime-, c'est la stupéfaction; Magistral." (Jeanne de Ménibus, Madame Figaro)



Mon avis :

C'est une très jolie histoire mais très triste. L'histoire est difficile à lire car il n'y a pas de chapitres et tout est à la suite, ce n'est vraiment pas facile à lire.
L'histoire se raconte à travers trois personnes et les histoires se superposent et j'ai eu du mal à m'y retrouver. L'histoire se passe en Inde et en Écosse dans les années 40 et maintenant. A cette époque les secrets de famille se taisaient et la honte se cachait. Ils ne savaient rien de la vie sexuelle et personne n'en parlait même  quand une fille se mariait. On faisait ce que les parents voulaient et puis c'est tout.
La fin est celle qu'il fallait et je ne voyais pas le livre se terminait autrement.

Ce livre a été lu dans le cadre de mon challenge personnel ainsi que dans le cadre du challenge psy.

10 avril 2013

Le pauvre nouveau est arrivé ! de Thierry JONQUET

Jonquet_pauvre_nouveau_G

Résumé de l'éditeur :

Jésus ! Jésus !. Un chanoine touille de sa canne une tambouille au fumet odorant... Traîne-savates et autres miséreux, gamelles à la main, à la queue leu leu... Jésus ! Jésus ! Allez les gars, Y a du rabiot !. Un jour, parmi eux, Etienne Chabot de Vaudricourt de la Muzardière-Huzart, aristocrate déchu, renvoyé au rang des loqueteux. Une malédiction ancestrale ! Il est naïf, Etienne, jusqu'au fond de sa misère...

Mon avis :

Comment peut-on tout perdre en si peu de temps ?

Ce livre mous le raconte fort bien. Un homme perd son travail et sa femme le quitte, je ne comprends pas cela et pourtant combien de personnes le font ? Comment une femme peut quitter son mari au pire moment de sa vie ? Je ne le comprends encore moins maintenant que mon mari est dans ce cas là. J'ai lu ce livre en juin 2012 et je ne savais pas ce qu'il allait nous arriver. Comme je l'ai toujours dit, cette histoire démontre bien que tout le monde peut se retrouver à la rue du jour au lendemain et devenir un SDF, c'est très facile. L'histoire du marquis est formidablement racontée, la roue finit toujours par tourner (n'est-ce pas Céline) et tout se paie un jour ou l'autre. J'ai beaucoup aimé la fin comme toutes les fins de cet auteur et elle est comme je l'a voulais.

Un très grand moment de lecture.

5 juillet 2012

Oublier son passé

9782709636278-G


L'hsitoire :

Lorsque Helena, Martin et leur fille de 14 ans, Emilie, quittent la vie survoltée de Stockholm pour repartir de zéro dans le nord de la Suède, les rêves d’Helena peuvent s’accomplir : ils restaurent une ferme dans laquelle elle a passé enfant ses vacances d’été, et la transforment en hotel de charme. Mais ce tableau idyllique va voler en éclats le jour où Martin, ne supportant plus les rêves d’Helena, retourne vivre à Stockholm avec une autre femme. 
En dépit d’une réussite professionnelle remarquable, Anders Strandberg a conscience de la vacuité de son existence. Un jour qu’il part en voiture vers le nord du pays pour tenter de récupérer une célèbre guitare ayant appartenu aux Beatles – Anders est un collectionneur éclairé et passionné de musique – il est victime d’un grave accident de la route. Et se relève avec l’horrible sentiment d’avoir voulu mourir… Il descend alors dans l’hôtel tenu par Helena et accepte son offre de travail à ses côtés. Pour la première fois, il se sent libre, il n’a rien à prouver ni à défendre. Il peut oublier son passé. Au même moment, la cousine d’Helena, Anna Karin, organise dans le village voisin une réception après les funérailles de leur tante Olga. Secrets et préjugés vont être levés pendant cette réunion de famille, au cours de laquelle les êtres en présence se révèlent capables de changer leur manière de penser vis-à-vis les uns des autres, comme à leur propre égard. 

L'auteur :

Karin Alvtegen, née en 1965, est la petite nièce de la célèbre romancière suédoise Astrid Lindgen, auteur de Fifi Brin d’Acier. Considérée comme la reine incontestée du polar suédois, elle nous livre pour la première fois un roman psychologique saisissant qui n’a pas pour cadre une intrigue policière.
Mon avis :

Je remercie tout d'abord Babelio pour m'avoir sélectionné et aussi que les éditions JC Lattès pour l'envoi de ce livre.
Dans le chapitre 10 une question m'est venue à l'esprit (mais je me la pose souvent), comment peut-on avoir si peu de coeur après la mort d'un être cher concerant l'héritage. C'est une chose que je ne comprendrai jamais, comment une famille peut se déchirer à propos d'un héritage, cela me révolte à chaque fois.
Page 141 : C'est quand on pense détenir la véritéqu'on devient mauvais.
C'est une belle histoire, qui pose une vraie question : Peut-on vraiment se séparer de son passé ?
La fin m'a vraiment surprise car elle reste ouverte à nos divagations, la suite est simplement supposée.
6 mars 2012

L'enfant des cimetières

51lnKoQdxqL

Présentation de l'éditeur :

Quand l'horreur sonne à votre porte et que les démons deviennent réalité... Êtes-vous prêt à ouvrir me livre de vos nuits blanches ?

Lorsque sa collègue Aurore l'appelle en pleine nuit pour couvrir avec elle un meurtre atroce, David, photographe de presse, se rend sur les lieux du drame. Un fossoyeur pris d'une folie hallucinatoire vient de massacrer sa femme et ses enfants avec un fusil à pompe, avant de se donner la mort.

Le lendemain, un adolescent, se croyant poursuivi par des ombres, menace de son arme les patients d'un hôpital et tue Kristel, la compagne de David. Mais qui est à l'origine de cette épidémie meurtrière? Est-ce un homme ou un démon?

Le journaliste, qui n'a plus rien à perdre, va se lancer à la poursuite de Nathaniel, l'enfant des cimetières, jusqu'aux confins de l'inimaginable...

Thriller gothique époustouflant, L'Enfant des cimetières est servi par une écriture nerveuse terriblement évocatrice qui laisse le lecteur hypnotisé par l'horreur. Attention, si vous commencez ce livre, vous ne pourrez plus le lâcher!

Mon avis :

Tout d'abord un grand merci à Laure pour ce prêt car je voulais vraiment le lire. 

Je ne dois pas être faite pour ce genre de lecture fanstastique et gothique. Je n'ai pas frémi comme avec les livres de Stefen King (que j'adore). J'ai trouvé les ficelles trrop grosses. Je suis peut-être passée à côté de celivre car je l'ai lu en 2 mois et c'est très long pour le suivi d'une lecture. J'étaius dans ma période "no lecture, no rien".

A très bientôt

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Les lectures d'Astrid
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 64 005
Publicité